Une carrière militaire qui lui a appris qu’il fallait être carré et rond ! Carré pour la rigueur que nécessitent les opérations militaires. Rond car les relations humaines sont la base de l’adhésion et il faut savoir y mettre de l’empathie, voire de la rondeur. Pendant ces 27 années au sein des armées, Frédéric Jouhaud a eu la chance de servir sur différents théâtres d’opération, de réfléchir sur les différents processus décisionnels en national et en multinational, de conduire des projets multiculturels et de rencontrer des gens fabuleux et inspirants.
Puis, tour à tour, ingénieur grands comptes en sécurité informatique dans une start-up suisse, consultant en leadership et en sûreté en France et à l’étranger, formateur à la gestion de crise en entreprise, travaillant aussi bien pour un industriel producteur de spiritueux que pour le monde de la Culture, Frédéric Jouhand s’est trouvé un nouvel amour après la défense, la sûreté globale.
Car peu de métiers combinent autant le besoin de concevoir une vision stratégique globale avec la nécessité d’être pragmatique et de s’attacher au facteur humain avant toute chose et exige de savoir mettre l’humain là où il apporte une réelle plus-
Une carrière militaire qui lui a appris qu’il fallait être carré et rond ! Carré pour la rigueur que nécessitent les opérations militaires. Rond car les relations humaines sont la base de l’adhésion et il faut savoir y mettre de l’empathie, voire de la rondeur. Pendant ces 27 années au sein des armées, Frédéric Jouhaud a eu la chance de servir sur différents théâtres d’opération, de réfléchir sur les différents processus décisionnels en national et en multinational, de conduire des projets multiculturels et de rencontrer des gens fabuleux et inspirants.
Puis, tour à tour, ingénieur grands comptes en sécurité informatique dans une start-up suisse, consultant en leadership et en sûreté en France et à l’étranger, formateur à la gestion de crise en entreprise, travaillant aussi bien pour un industriel producteur de spiritueux que pour le monde de la Culture, Frédéric Jouhand s’est trouvé un nouvel amour après la défense, la sûreté globale.
Car peu de métiers combinent autant le besoin de concevoir une vision stratégique globale avec la nécessité d’être pragmatique et de s’attacher au facteur humain avant toute chose et exige de savoir mettre l’humain là où il apporte une réelle plus-value et de laisser à la technologie ce qui ne nécessite pas l’intervention de l’Homme.