Nelly Fesseau, administratrice civile hors classe des Services du Premier ministre, est experte de haut niveau auprès du Secrétaire général du ministère de l’Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, au sein de la mission de la politique de l'encadrement supérieur.
Elle a pour mission la définition et le suivi de la politique de l'encadrement supérieur sur le périmètre administration centrale, universités et établissements publics, dans l'ensemble de ses dimensions: identification des viviers, recrutement, évaluation, suivi et accompagnement individualisé des parcours et des formations, mobilités internes et externes.
Diplômée de l’Institut d’études politiques de Bordeaux et de la Kingston University de Londres, titulaire d'un diplôme d'études approfondies d'histoire contemporaine, Nelly Fesseau fut chargée de mission à la direction de l'aménagement du territoire du Conseil régional d'Aquitaine (1987-1989), avant de rejoindre, comme administratrice territoriale, la Communauté Urbaine de Strasbourg où elle fut chargée de l’évaluation des politiques publiques, puis secrétaire générale adjointe des musées de la Ville de Strasbourg où elle participa à la cr
Nelly Fesseau, administratrice civile hors classe des Services du Premier ministre, est experte de haut niveau auprès du Secrétaire général du ministère de l’Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, au sein de la mission de la politique de l'encadrement supérieur.
Elle a pour mission la définition et le suivi de la politique de l'encadrement supérieur sur le périmètre administration centrale, universités et établissements publics, dans l'ensemble de ses dimensions: identification des viviers, recrutement, évaluation, suivi et accompagnement individualisé des parcours et des formations, mobilités internes et externes.
Diplômée de l’Institut d’études politiques de Bordeaux et de la Kingston University de Londres, titulaire d'un diplôme d'études approfondies d'histoire contemporaine, Nelly Fesseau fut chargée de mission à la direction de l'aménagement du territoire du Conseil régional d'Aquitaine (1987-1989), avant de rejoindre, comme administratrice territoriale, la Communauté Urbaine de Strasbourg où elle fut chargée de l’évaluation des politiques publiques, puis secrétaire générale adjointe des musées de la Ville de Strasbourg où elle participa à la création du Musée d’Art Moderne et Contemporain (1992-1997).
Chargée de mission Présidence-direction générale du Parc de la Villette (1998-2000), elle fut ensuite directrice du groupement d’intérêt public CNC/Cinémathèque française (2000-2004) et à ce titre, directrice du projet qui permit l’installation de la Cinémathèque française au 51, rue de Bercy, dans l’ensemble de ses composantes : stratégique, budgétaire, humaine, technique, architecturale, internationale. Directrice adjointe des affaires financières et juridiques du Musée du Louvre (2004-2007), elle rejoignit le Ministère de la culture et de la communication comme chef de la mission du contrôle de gestion ministériel (2007-2009), et enfin l’École nationale supérieure des arts décoratifs (ENSAD) comme directrice adjointe de l’établissement jusqu’en 2010.
Elle occupa ensuite les fonctions de directrice adjointe de la formation, chargée de la formation permanente à l’École nationale d'administration sur (2010-2014). Sa mission consistait à former les hauts fonctionnaires français et étrangers en formation continue. Secrétaire générale de l’Agence universitaire de la Francophonie (2014-2015), elle représenta l’agence avec le recteur lors du XVe Sommet des chefs d’État et de gouvernement francophones à Dakar.
Auditrice de la 68ème session nationale « politique de défense » de l'Institut des hautes études de défense nationale – IHEDN, elle également officier dans la réserve citoyenne, armée de terre et membre du GRT, groupement rayonnement terre auprès du chef d’Etat-major de l’armée de Terre. Auteur d’un ouvrage sur les enjeux du numérique « Numérique : renouer avec les valeurs progressistes et dynamiser la croissance », préfacé par Jacques Attali, publié en octobre 2012, elle fut, à ce titre, membre du « Groupe de contacts » constitué dans le cadre des travaux d’élaboration de l’étude annuelle 2014 du Conseil d’État, relative au numérique et aux droits fondamentaux