Après un cursus universitaire, Master de Politique et gestion de la sécurité (Lyon 3) complété par un Master en Histoire militaire, défense et sécurité (IEP d’Aix en Provence), Simon Riondet intègre en 2000 la Police nationale au sein de l’un de ses services de renseignement.
Il prend ensuite la direction de services de police judiciaire dans l’Est de la France et Outre-mer où il dirige la lutte contre les trafics de stupéfiants pour la zone caraïbes et Guyane et commande une unité tactique spécialisée (Brigade de Recherche et d’Intervention de Montpellier).
Il intègre ensuite EUROPOL, d’abord en tant que représentant de la France, puis en prenant la direction de l’unité de renseignement financier de cette agence européenne, animant les réseaux internationaux en matière de lutte anti-blanchiment, d’avoirs criminels et d’anti-corruption. Il crée le premier partenariat transnational public-privé permettant l’échange de données financières et criminelles entre les plus grandes banques, les Cellules de Renseignement Financier et les services d’enquête européens. Il intervient, à de nombreuses reprises, devant le Parlement européen sur les questions de blanchiment et de financement d
Après un cursus universitaire, Master de Politique et gestion de la sécurité (Lyon 3) complété par un Master en Histoire militaire, défense et sécurité (IEP d’Aix en Provence), Simon Riondet intègre en 2000 la Police nationale au sein de l’un de ses services de renseignement.
Il prend ensuite la direction de services de police judiciaire dans l’Est de la France et Outre-mer où il dirige la lutte contre les trafics de stupéfiants pour la zone caraïbes et Guyane et commande une unité tactique spécialisée (Brigade de Recherche et d’Intervention de Montpellier).
Il intègre ensuite EUROPOL, d’abord en tant que représentant de la France, puis en prenant la direction de l’unité de renseignement financier de cette agence européenne, animant les réseaux internationaux en matière de lutte anti-blanchiment, d’avoirs criminels et d’anti-corruption. Il crée le premier partenariat transnational public-privé permettant l’échange de données financières et criminelles entre les plus grandes banques, les Cellules de Renseignement Financier et les services d’enquête européens. Il intervient, à de nombreuses reprises, devant le Parlement européen sur les questions de blanchiment et de financement du terrorisme et participe à l’élaboration, avec différentes directions de la Commission européenne, des nouvelles règles européennes concernant l’accès au renseignement financier.
Il rejoint ensuite le cabinet du Ministre de l’Intérieur dans des fonctions de conseiller.
Depuis janvier 2021, il est le Chef de la Brigade de Recherche et d'Intervention de la Préfecture de Police, unité d’intervention de niveau 3 chargée de la protection de Paris mais aussi de missions judiciaires spécialisées.