Médecin et statisticien de formation, depuis les tous premiers débuts de sa carrière, Philippe Mourouga est motivé par les défis qui lui permettent d’innover, de rencontrer des personnes lui permettant d’apprendre et de progresser, de participer à des projets dont l’impact sur son environnement est tangible.
Formé en médecine à Paris, où il est né, il a ensuite traversé la Manche et étudié les statistiques à Londres. Il a pu utiliser ses compétences dans différents environnements hospitaliers et universitaires tant à Paris qu’à Londres avant de rejoindre en 2001 la lutte contre le cancer, en prenant des fonctions tout d’abord à la Ligue Nationale Contre le Cancer, puis à l’Institut National du Cancer, à sa création en 2005. Ces années lui ont permis de forger ses convictions tant sur le rôle de l’État que sur ses responsabilités en tant que médecin et scientifique. Il a ainsi eu l’occasion de participer à la mise en place de la loi d’interdiction de fumer dans les lieux publics, à l’évaluation des unités de soins intensifs en Grande-Bretagne, à la mise au point de modèles statistiques d’analyse de données médicales utilisées dans le domaine de la recherche clinique ou pour l’optim
Médecin et statisticien de formation, depuis les tous premiers débuts de sa carrière, Philippe Mourouga est motivé par les défis qui lui permettent d’innover, de rencontrer des personnes lui permettant d’apprendre et de progresser, de participer à des projets dont l’impact sur son environnement est tangible.
Formé en médecine à Paris, où il est né, il a ensuite traversé la Manche et étudié les statistiques à Londres. Il a pu utiliser ses compétences dans différents environnements hospitaliers et universitaires tant à Paris qu’à Londres avant de rejoindre en 2001 la lutte contre le cancer, en prenant des fonctions tout d’abord à la Ligue Nationale Contre le Cancer, puis à l’Institut National du Cancer, à sa création en 2005. Ces années lui ont permis de forger ses convictions tant sur le rôle de l’État que sur ses responsabilités en tant que médecin et scientifique. Il a ainsi eu l’occasion de participer à la mise en place de la loi d’interdiction de fumer dans les lieux publics, à l’évaluation des unités de soins intensifs en Grande-Bretagne, à la mise au point de modèles statistiques d’analyse de données médicales utilisées dans le domaine de la recherche clinique ou pour l’optimisation de la prise en charge des patients à l’hôpital. Les années au service de la lutte contre le cancer l'ont enfin amené une ouverture vers le grand public et les thématiques de société avec le souci d’expliquer et de faire évoluer les structures de prise en charge et de décision dans ce domaine.
Il a rejoint l’industrie pharmaceutique, tout d’abord en France, puis dans des postes régionaux qui lui ont permis de découvrir les systèmes de santé de pays aussi variés que la Chine, la Russie, l’Inde, les pays du Sud-Est Asiatique, d’Amérique Latine ou du Moyen-Orient. Ces expériences lui ont permis de découvrir des systèmes de santé très différents mais ayant tous pour particularité de ne pas couvrir les dépenses de santé de leurs habitants selon notre système français de couverture universelle. Il a ainsi eu l’opportunité de mettre en place des programmes d’accès aux médicaments pour les patients qui tenaient compte des conditions socio-économiques des population de ces pays. Cette approche s’inscrit dans le grand débat du "prix éthique" qui secoue actuellement l’industrie pharmaceutique et a amené à de nombreuses prises de position récentes dont celle de l’OMS.
Après une année en Chine, il a été en charge pour la France des relations entre AstraZeneca et le gouvernement français. En particulier, la négociation des prix de nos produits fait partie de ses responsabilités; redéfinir une approche totalement nouvelle de cette relation est au cœur de sa mission.
Il est, depuis 2020, VP Value, Access and Government Affairs (Biogen Intercontinental Region).